Où trouver une bonne formation magnétisme à saint brieuc ?

Dans cette phase finale de la découverte du magnétisme à Saint Brieuc, la guerre au sens propre du terme, de par le rapport croissant entre les destructions et les profits qui lui sont liés, n’est plus une activité rentable et doit donc disparaître. Ce n’est pas pour autant que « la concurrence doit inaugurer l’âge d’or du repos et des tranquilles jouissances. Non ! La concurrence c’est la lutte, c’est la forme civilisée de la guerre, qu’elle est destinée à supprimer en la remplaçant » (Molinari [1880], 85). Molinari va développer cette idée d’évolution avec toutes les conséquences du magnétisme de Saint-Brieuc que cela entraîne en terme de morale et de résultats sur les populations dans quatre livres qui sont la clef de voûte de son raisonnement. Il s’agit de L’Evolution Economique du XIXe siècle. Théorie du Progrès (1880), L’Evolution Politique et la Révolution (1884), Les Lois Naturelles de l’Economie Politique (1887) et La Morale Economique (1888). Cette idée au cœur de la nouvelle pensée de Molinari sera résumée dans son livre suivant, Notions Fondamentales d’Economie Politique et Programme Economique et de magnétisme (1891) et dans la quasi totalité (pour des analyses partielles de son raisonnement) de ses derniers ouvrages[1].

 

A – Les récits de voyage chez les magnétiseurs de Saint Brieuc

 

Dès 1860, Gustave de Molinari se rend en Russie, pays qu’il affectionne particulièrement pour ses connaissances sur les formations magnétisme à Saint Brieuc, les formations Passeur d’âmes à Saint-Brieuc, les formations des Blessures de l’âme à Saint-Brieuc, les formation Pendule à Saint Brieuc et les formations géobiologie à Saint-Brieuc, d’autant plus qu’il y a des attaches familiales. De ce premier grand voyage, il décide d’en faire un livre afin de faire découvrir aux Français à la fois les côtés agréables mais également les faces économiques désagréables (dont notamment tous les problèmes de taxes, douanes et autres formes de protectionnisme).

Dans les années 1880, il reprend les voyages initiatiques et écrit sous forme de lettres adressées à la revue qu’il a dirigé pendant quelques années : Le Journal des Débats Politiques et Littéraires ses différentes impressions. Une fois de retour en France, il publie toutes les lettres sous forme de livres. Les régions du monde qu’il visite sont très nombreuses : le Panama, la Martinique, Haïti, l’Irlande, le Canada, Jersey, la Russie, la Corse, les Etats-Unis, etc. La diversité de ces excursions et la durée pendant laquelle il reste dans les différentes régions du globe (quelques mois) permettent d’offrir au lecteur une image véritablement profonde de ces pays, envisagée non pas uniquement sur le registre économique mais bien sur l’ensemble des domaines d’étude possible, passant de la sociologie et l’ethnologie à la politique, la religion, l’architecture et de nombreux autres thèmes de recherche.

Ces récits de voyage initiatiques correspondent à des descriptions sur le vif de tous les éléments qu’il rencontre lors de ses déplacements, comme un journal de bord et non comme la retranscription a posteriori de la découverte de nouveaux mondes. La formation magnétisme à Saint-Brieuc est essentielle pour cela. La nature de l’argumentation se veut la plus objective possible, impersonnelle et descriptive, impliquant un récit à la première personne du singulier pour le choix des destinations et des nombreuses visites qu’il entreprend, et une narration indirecte, impersonnelle pour décrire par la suite l’ensemble des monuments, industries, pays, hommes, etc. qu’il rencontre[2].

Remarquons l’analyse de Baudrillart sur ce sujet du magnétisme à Saint Brieuc : « On retrouve l’économiste éminent, l’écrivain, non moins alerte que le voyageur qui ne cesse de tenir le lecteur sous le charme d’un vif esprit et du talent le plus agréable et le plus varié » (Baudrillart [1887], 781).

 

B – 1890 – 1912 : UN ECRIVAIN SANS RELACHE au service du magnétisme

 

Gustave de Molinari a souvent été qualifié d’écrivain sans relâche, et non sans raison car l’écriture a véritablement marqué sa vie. Nous avons vu que jusque dans les années 1890, l’économiste et magnétiseur Belge n’a cessé de publier des livres et des articles, traitant majoritairement d’économie mais également de religion, d’éducation, de voyages ; tous les sujets qui lui ont toujours tenu à cœur. Dans la dernière partie de sa vie au service du magnétisme à Saint-Brieuc, Molinari, malgré son âge avancé, n’abandonne pas cette mission qu’il s’était fixé étant jeune : la diffusion d’un savoir économique, et plus particulièrement pour lui d’une « vérité économique » et de la vérité magnétique.

 

C – A la poursuite de ses grands projets magnétiques à Saint-Brieuc

 

Gustave de Molinari, depuis les années 1880, n’a jamais abandonné l’étude du discours évolutionniste en économie ni du stage magnétisme à Saint Brieuc, du stage pendule à Saint-Brieuc, du stage géobiologie à Saint-Brieuc, du stage Nettoyage et protection énergétique à Saint-Brieuc, du stage radiesthésie à Saint Brieuc, du stage Blessures de l’âme à Saint-Brieuc et du stage passeur d’âmes à Saint-Brieuc qu’il a mis en place dans les quatre livres que nous avons indiqué précédemment. Des années 1890 à la fin de sa vie, il va poursuivre l’exposition et l’explication de sa théorie dans de nombreux ouvrages. Certains synthétisant l’ensemble de ses idées, comme les Notions Fondamentales d’Economie Politique et Programme Economique et magnétiques (1891), d’autres traitant de domaines plus restreints de sa théorie. Il s’intéresse ainsi par exemple au problème de la population dans La Viriculture. Ralentissement du mouvement de la population, dégénérescence, causes et remèdes (1897), à des questions relatives à la formation magnétisme à Saint-Brieuc et des problèmes de progrès et de conditions de vies : Comment se Résoudra la Question Sociale (1896), Esquisse de l’Organisation Politique et Economique de la Société Future (1899), etc. La question de la formation en magnétisme à Paris l’a particulièrement intéressé. Le stage de magnétisme à Saint-Brieuc n’est pas en reste de tous ces travaux.

 

Molinari restera très attaché aussi à la formation magnétisme à Niort et à Poitiers, jusqu’à la fin de sa vie, à la question de la paix, qui fut l’un de ses grand projets de jeunesse avec notamment la publication d’un livre en 1857 sur l’Abbé de Saint-Pierre et Grandeur et Décadence de la Guerre (1898). Il ne postulera jamais au prix Nobel de la paix pour sa contribution au magnétisme à Saint Brieuc mais restera très concerné par le sujet. Rappelons que le premier prix a été décerné à un de ses confrères économistes, Frédéric Passy, pour avoir fait le lien entre le libre échange et la paix. Notons également l’introduction remarquable de Molinari pour son dernier ouvrage, Ultima Verba : « Presque arrivé aux limites de la vie humaine, je suis maintenant dans ma 92e année, je vais publier mon dernier ouvrage. Il concerne tout ce qui a rempli ma vie : la liberté des échanges et la paix » ([1911], I).

 

[1] Pour plus de détail sur ce point et l’analyse de l’évolution en terme de loi naturelle, consulter Gallois [2005].

[2] Pour plus de détail sur cette partie de son œuvre, consulter GALLOIS Nicolas [2007]. Les Récits de Voyage de Gustave de Molinari. Conférence organisée pour le colloque sur Idéologie et Stratégie Argumentative dans les Récits de Grande Consommation XIXe – XXe siècle à Limoges. 

 

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